Comment la reconnaître ?
C’est la plus connue et la plus grande des espèces d’hirondelles avec une envergure totale d’environ 30 cm. C’est un oiseau au plumage bleu-noir avec des reflets métalliques. Sa gorge est rouge brique et son ventre blanchâtre. Elle a une silhouette gracieuse et fuselée avec une queue très échancrée bordée de deux “filets” étroits, plus longs chez le mâle (jusqu’à 70 mm) que chez la femelle (34 mm au minimum). Son bec est noir, petit et large et ses pattes très courtes sont noirâtres.
Une espèce anthropophile :
L’hirondelle rustique ne craint pas l’homme, elle niche dans sa proximité, souvent à l’intérieur des bâtiments. Elle fréquente principalement les campagnes, les prairies, les villages, dans lesquels se trouvent greniers, granges, vieux hangars. Elle séjourne également dans les agglomérations comportant suffisamment d’espaces verts. En règle générale, son affluence est liée à la présence d’habitats riches en insectes aériens (prairies, bois, étangs, cours d’eau, parcs, jardins…)
Si les villages sont privilégiés, il lui arrive aussi de nicher en ville.
Un oiseau insectivore :
L’hirondelle est strictement insectivore. Elle se nourrit d’insectes aériens comme les mouches, les moustiques, les pucerons, les mites… qu’elle capture en vol. C’est parce qu’il n’y a plus d’insectes volants dans nos régions en hiver qu’elle est obligée de migrer en Afrique pour y trouver de la nourriture.
Les allées et venues des parents pour nourrir leur progéniture peuvent se répéter jusqu’à 400 fois par jour, ce qui représente 7000 insectes ! C’est une grande alliée des jardiniers, agriculteurs et fermiers !
Une espèce menacée :
En une vingtaine d’années, la population a subi un déclin alarmant estimé à 40%. Elle souffre de l’intensification agricole et de l’utilisation massive de pesticides qui détruit les insectes dont elles se nourrissent. L’urbanisation, la rénovation de bâtiments sont également responsables de ce déclin, tout comme les changements climatiques subis sur les trajets migratoires. L’hirondelle n’a en outre pas bonne presse à cause des salissures qu’elles peut engendrer. Certains propriétaires détruisent les nids ! Pourtant des solutions existent.
Comment la protéger ?
La solution efficace qui contribue à réduire le déclin de l’hirondelle rustique est de remplacer les nids détruits lors des travaux d’aménagement par des nichoirs en béton de bois Nat’H. Attention, les nids en béton de bois doivent être posés de septembre à mars car les hirondelles nichent d’avril à fin août.
Quels types de nids en béton de bois ?
Pour l’hirondelle rustique, il faut utiliser le nid en béton de bois Nat’H dont la forme est une coupe ; celle-ci est fixée sur une planchette en bois. Cet ensemble a l’avantage d’offrir une longévité remarquable. Sous le nid en béton de bois, il est conseillé d’installer une planche en béton de bois réceptacle des éjections des oiseaux car durant la période de nidification, les fientes qui tombent des nids en béton de bois peuvent salir les façades et le sol.
Comment installer les nids en béton de bois ?
Le nid double en béton de bois pour hirondelles rustiques se fixe sur une surface verticale, à l’angle d’un toit ou d’une avancée, afin de le protéger de la pluie. Il faut que le nid en béton de bois soit à une hauteur minimale de deux mètres pour le protéger des chats et autres prédateurs.
Comment entretenir le nid en béton de bois ?
Le nettoyage du nid en béton de bois n’est pas indispensable mais il est conseillé. Le nid double en béton de bois pour hirondelles rustiques est facile d’accès grâce à sa forme arrondie.
La planche à fientes en béton de bois devra être nettoyée à la fin de la saison de nidification.
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